Fly away. [ PV ALEX]

Petite poudre blanche… Monte dans mon nez… Petite poudre blanche, me force à oublier, me force à temporiser, et me force à penser, que tout va s’arranger… Petite poudre blanche qui monte dans mon nez, je peux positiver, je peux avancer… Petite poudre blanche qui monte dans mon nez, grâce à toi la douleur, je peux l’esquiver, d’être euphorique tu me permet et j’en viendrais peut être a oublié que c’est son nom que je suis en train de sniffer… Que ce rail qui me libère n’est que captivité pour mon esprit que tu as trop troublé.

"I wish that
I could fly into the sky
So very high
Just like a dragonfly"

Je suis entré et tous se sont barrés… Moi je rêve de pouvoir voler, loin de toi et derrière moi laisser mon cœur torturé… Tellement haut, que mon esprit mourrait, que je ne penserais plus à rien, seulement à voler tout haut… Je ne fais que planer depuis cette soirée… Je préfère ça que rêver… Et sur un salaud fantasmer.

"I'd fly above the trees
Over the seas In all degrees
To anywhere I please"

Au dessus des arbres, au dessus de la mer, au dessus de toute la douleur qui me retient à terre, au dessus de la souffrance, au dessus des galères, au dessus d’un monde qui veut me foutre en l’air. Je n’ai pas l’intention de me laisser faire. Moi je m ‘en échapper pour ne pas marcher vers hier.

"Oh I want to get away
I want to fly away
Oh I want to get away
I want to fly away"

Oui je veux partir, je veux m’en aller et voler loin, loin de ces faux espoirs, qu’ont brisés dans l’œuf les flammes de ton départ… Espoir ? Mais y ai je cru ? L’espoir n’existe plus, nous sommes dans un monde ou pour survivre, tu dois vivre nue… Nous sommes dans une société ou pour avancer, tu dois offrir ton cul… Et n’est-ce pas juste ça que tu voulais, toi Renaud l’anti-Ingénue.

Non moi, je ne chante pas, ce que chantent les filles, dans le même cas que moi… Je ne pousse pas ma voix pour te dire que je pense à toi, que je ne t’oublie pas, et que je suis a toi... Car que e soit vrai ou pas, tu ne m’entendra pas, je veux juste avancer, et te laisser derrière moi, pour mieux avancer, et ne pas mourir de toi, juste m’envoler, oubliant ta voix, ton visage et tes doigts… Si je sniffe ton nom dans les toilettes du cinéma… C’est juste que seule, je n’y arrive pas…

Je finis ton D et m’essuie le nez, j’entends des pas résonner, sur le carrelage glacé…

Putain mais c’est…

« Salut Stedman… »

Dans ma chanson interrompue, ce sale type a il tout vu ? Lire son nom, a-t-il pu ?...

Toujours si rêveur dans un monde disparue, dans un lieu qui petit à petit l’oublie, là où la trace de son passage n’est qu’un vague sourire sur des photos de classes, où encore des photos collés de bon moment dans des chambres d’internas, mais à vive allure tout s’efface, rayé de songe, de mémoires et pire encore de souvenir. Pourtant ses rêves à lui,ils sont encore tous présent,personne ne manque à l’appel, un caserne militaire où le lieutenant forme ses troupes dans la mémoires du jeune homme ils les voient encore tous rire sur leur petit murai où chaque membre avait sa place bien définie où chaque jeune fille savait dans les bras de qui se tourner simplement le monde d’Alex mais ici loin de chez lui ce n’est plus son pays, sa patrie d’origine il s’en fou royalement mais aujourd’hui il est dans le monde de Noah …
Des mots une chanson, une voie douce mais mélanger à un sentiment de haine étrange, vole vole enfant, tu doit être quelqu’un d’étrange pour ne pas fredonner le dernier tube à la mode, qui est es-tu donc ?
Ouvrant simplement la porte, écoutant la demoiselle prononcer ses mots, verser ses sentiments sur le carrelage, un curieux cocktail saupoudré de poudre blanche … Elle ne s’arrête pas, elle ne l’a pas encore vu ayant simplement ouvert le hublot il fut surprit devoir une fille comme elle ici, l’intrigue de Renaud le soir du bal, le jeune STedman n’avait pas souvent rencontré cette fille et ne voyait vraiment pas ce que son ami pouvait lui trouver mais après tout, tous les goût son dans la nature !
Les deux jeune gens dans les toilettes du cinéma un étrange cliché mais c’était la situation réel, le garçons n’avait entendu le début des paroles de Jess mais en avait compris la moitié du moins adossé contre le mur tenant la porte avec son bras droit il écoutait, espionnait presque quand soudain il décida de s’avancer, grincement, bruit de pas sur le carrelage pâle et elle l’avait très bien reconnu normal qui ne connaît les deux Stedman dans cette ville …

« Jessica… Alors comme ça on chantonne dans les toilettes … »

Il lui fit un rapide sourire, il avait très bien vu ce qu’elle avait fait, m’en n’en dit rien enfin pour l’instant, plongeant sa main dans les poches, il en sortit un paquet de clope, chose pratique dans le cinéma pas d’alarme incendie dans les WC alors pourquoi se privé de fumer …

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